► Allard, J. - Feuillâtre, E. En grec et en français, Cours de langue grecque J. Allard et E. Feuillâtre, Librairie Hachette, 1947, 13 x 20, 144 pages, broché. Neuf. Réimpression de l'édition Hachette de 1947 en petites séries.
En grec, Librairie Hachette et Cie, 1872, 11 x 18, IV + 251 pages, relié, occasion. Demi toilé bleu marine, plats cartonnés jaunes imprimés salis par le temps. Intérieur très frais, quelques rousseurs.
Nouvelle édition publiée avec des arguments et des notes en français par Edouard Sommer.
Extrait de l'avertissement à cette nouvelle édition :
L'excellent recueil publié il y a dix ans par M. de Sinner se trouvait épuisé. La juste faveur qui avait constamment suivi son livre ne permettait guère de songer à en composer un autre qui lui eût été sans doute inférieur ; et cependant, pour répondre aux intentions du nouveau programme, quelques modifications étaient devenues nécessaires. Les discours complets, qui figurent aujourd'hui sur la liste des ouvrages exigés pour le baccalauréat, n'étaient peut-être pas, dans l'ancien recueil, en assez grand nombre, et le livre pouvait être facilement modifié de ce côté. Il nous a suffi de retrancher les deux discours de Libanius et d'y substituer deux morceaux dont le mérite oratoire est incontestable, et qui ont pris rang depuis longtemps parmi les ouvrages classiques : l'éloge funèbre de Césaire, par saint Grégoire de Nazianze, et qui ont pris rang depuis longtemps parmi les ouvrages classiques : l’éloge funèbre de Césaire et l'homélie sur la disgrâce d'Eutrope, par saint Jean Chrysostome. Les notes latines ont été remplacées par des notes françaises, et, les analyses en latin par des analyses en français. Toutes les remarques utiles que contenaient les notes rédigées par M. de Sinner lui-mêrne ou empruntées par lui à d'autres savants ont été conservées, et nous en avons ajouté un très grand nombre de nouvelles pour expliquer les principales difficultés du texte. Nous n'avons omis aucune occasion d'indiquer les rapprochements que l'on peut faire, en certains endroits, entre les écrivains chrétiens et les écrivains profanes. Il n’y a pas d'étude plus utile que cette cornparaison entre les développements d'idées semblables envisagées d'un point de vue différent. Enfin, nous avons cru utile de donner une courte notice sur chacun des Pères de l'Église grecque qui figurent dans ce recueil. Nous ne pouvions, sans sortir des bornes d'une édition destinée aux classes des lycées, entrer dans de grands détails…