► Allard, J. - Feuillâtre, E. En grec et en français, Cours de langue grecque J. Allard et E. Feuillâtre, Librairie Hachette, 1947, 13 x 20, 144 pages, broché. Neuf. Réimpression de l'édition Hachette de 1947 en petites séries.
Epitome in libros suos, Liber acephalos. Carmen de Phoenice. Resurrectione dominica. Passione Domini. Omnia ex fide & authoritate librorum manuscriptorum emendata [per Jacobum Cujacium]. [Ex Hieronymo de Viris illustribus. Interpretatio dictionum graecarum, recensente Marco Masuro. Epistola Joannis Tornaesii.]
Lactance
En latin, Apud Ioannem Tornaesium Typog. Regiana Lugdun., 1587, 8 x 12, 785 p + [index 45 p.] + [1 p.], relié. Reliure en papier parcheminé blanc, dos muet à trois nerfs avec des manques (haut de dos, coiffe en pied frottée, mors côté plat recto fatigué. Bords des plats frottés). Un trou de ver en bas de page sans atteinte au texte. Page de titre insérée dans un motif décoratif gravé. Un tampon de bibliothèque. Ex libris : Vermächtniss des Rector D. Benedict Wilhem für der Bibliothek der Klosterschule Rossleben. Page manuscrite en allemand sur la garde. Papier jauni de manière uniforme. Rousseurs éparses. Marque de Jean de Tournes sur la dernière page de l’ouvrage.
Edition des Œuvres de Lactance par Jean de Tournes.
Lucius Caecilius Firmianus, Lactance, naquit en Afrique. Il fut l'élève d'Arnobe et devint, comme son maître, professeur de rhétorique latine. Il acquit une réputation sans doute assez considérable, puisque Dioclétien le manda à Nicomédie pour qu'il occupât une chaire de rhétorique latine. En 303, quand la persécution de Dioclétien a commencé, Lactance, s'étant converti récemment au christianisme, a dû perdre son poste officiel. Il vécût dans le loisir et la pauvreté et se mit à écrire. À la fin de sa vie, vers 316 ou 317, il devint précepteur du César Crispus, fils de Constantin. Souvent comparé avec Cicéron pour l'élégance de son style, Lactance est le premier écrivain d'Occident à tenter un exposé systématique de la doctrine chrétienne en s'adressant à la classe cultivée d'un monde romain, dont il accepta la tradition culturelle et littéraire ainsi que la tradition sociale et politique, pour fondre le tout avec le message moral et religieux du christianisme.